Surveillance de eDirectory à l'aide de SNMP

eDirectory est surveillé à l'aide des trappes et de la fonctionnalité de statistiques de SNMP.

Pour surveiller un serveur eDirectory à l'aide de SNMP, vous devez disposer des droits suivants sur les objets Serveur NCP, Groupe LDAP et Serveur LDAP :

Par défaut, un utilisateur qui se logue avec les droits d'administrateur ne rencontre aucun problème pour surveiller un serveur eDirectory qui exécute SNMP.


Trappes

eDirectory comprend, au total, 119 événements générant des trappes. Vous pouvez utiliser un navigateur MIB pour vérifier les trappes générées.

REMARQUE :  les numéros de trappe 42, 92 et 100 sont spécifiques à NetWare.

Numéro de la trappe Nom de la trappe Génération de la trappe quand

1

ndsCreateEntry

Un nouvel objet est ajouté dans l'annuaire.

Exemple :

création d'un objet via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne® ou iManager.

2

ndsDeleteEntry

Un objet existant est supprimé.

Exemple :

création d'un objet via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

3

ndsRenameEntry

Un objet existant est renommé.

Exemple :

attribution d'un nouveau nom à un objet via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

4

ndsMoveSourceEntry

Un objet est déplacé vers un autre contexte. La trappe donne alors le contexte de l'objet avant son déplacement.

Exemple :

déplacement d'un objet via ldapmodrdn ou ldapsdk.

5

ndsAddValue

Une valeur est ajoutée à un attribut d'objet.

Exemple :

ajout de nouvelles valeurs à des attributs via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

6

ndsDeleteValue

Une valeur est supprimée d'un attribut d'objet.

Exemple :

suppression de valeurs d'attribut via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

7

ndsCloseStream

Un attribut de flux est modifié.

8

ndsDeleteAttribute

Une valeur est supprimée d'un attribut à valeur unique.

Exemple :

suppression d'un attribut via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

9

ndsCheckSecurityEquiv

Le vecteur d'équivalence de sécurité d'une entrée spécifique est contrôlé.

Exemple :

modification de l'attribut d'équivalence de sécurité via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

10

ndsUpdateSecurityEquiv

Le vecteur d'équivalence de sécurité d'une entrée spécifique est modifié.

Exemple :

modification de l'attribut d'équivalence de sécurité via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

11

ndsMoveDestEntry

Un objet est déplacé vers un autre contexte. La trappe donne alors le contexte vers lequel l'objet est déplacé.

Exemple :

déplacement d'objets via ldapmodrdn ou ldapsdk.

12

ndsDeleteUnusedExtref

Un objet Lien en amont est supprimé.

13

ndsAgentOpenLocal

L'agent Annuaire local est ouvert.

Exemple :

exécution d'une réparation sans surveillance.

14

ndsAgentCloseLocal

L'agent Annuaire local est fermé.

Exemple :

exécution d'une réparation sans surveillance.

15

ndsDSABadVerb

Un numéro de verbe incorrect est associé à une requête DSAgent.

Exemple :

envoi d'une requête de verbe erronée à eDirectory à l'aide d'appels DClient.

16

ndsMoveSubtree

Un conteneur et son objet subordonné sont déplacés.

Exemple : déplacement d'une partition vers un autre contexte via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

17

ndsNoReplicaPointer

Aucun pointeur de réplique n'est associé à une réplique donnée.

18

ndsSyncInEnd

La synchronisation entrante est terminée.

19

ndsBacklinkSecurEquiv

Une opération de liaison en amont a mis à jour le vecteur d'équivalence de sécurité d'un objet.

Exemple :

modification de l'attribut d'équivalence de sécurité via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

20

ndsBacklinkOperPrivChg

Une opération de liaison en amont a modifié les privilèges de l'opérateur de la console d'un objet.

21

ndsDeleteSubtree

Un conteneur et ses objets subordonnés ont été supprimés.

22

ndsReferral

Un renvoi est créé.

23

ndsUpdateClassDef

Une définition de classe de schéma est mise à jour.

Exemple :

cette trappe est générée lorsqu'une nouvelle classe ou un nouvel attribut est ajouté(e) à un objet primaire, lui-même synchronisé avec un objet secondaire via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

24

ndsUpdateAttributeDef

Une définition d'attribut de schéma est mise à jour.

Exemple :

cette trappe est générée lorsqu'un nouvel attribut est ajouté à un objet primaire, lui-même synchronisé avec un objet secondaire via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

25

ndsLostEntry

eDirectory identifie une entrée perdue. Une entrée perdue est une entrée pour laquelle vous recevez des mises à jour bien qu'elle n'existe pas sur le serveur local.

26

ndsPurgeEntryFail

L'opération de purge a échoué.

27

ndsPurgeStart

L'opération de purge a commencé.

Exemple :

Run dstrace et Set ndstrace=*j.

28

ndsPurgeEnd

L'opération de purge est terminée.

Exemple :

Run dstrace et Set ndstrace=*j.

29

ndsLimberDone

L'opération de contrôle de connectivité est terminée.

Exemple :

configuration de dstrace en vue du lancement du contrôleur de connectivité (limber) après une période donnée.

30

ndsPartitionSplitDone

L'opération de division de la partition est terminée.

Exemple :

création d'une partition via ConsoleOne ou iManager.

31

ndsSyncServerOutStart

La synchronisation sortante à partir d'un serveur particulier est lancée.

Exemple :

configuration de dstrace en vue du lancement de la synchronisation sortante après une période donnée.

32

ndsSyncServerOutEnd

La synchronisation sortante à partir d'un serveur particulier est terminée.

Exemple :

configuration de dstrace en vue de l'arrêt de la synchronisation sortante après un intervalle de temps donné.

33

ndsSyncPartitionStart

La synchronisation de la partition est lancée.

Exemple :

première partition des conteneurs.

34

ndsSyncPartitionEnd

La synchronisation de la partition est terminée.

Exemple :

première partition des conteneurs.

35

ndsMoveTreeStart

Le déplacement d'une sous-arborescence est lancé.

Une sous-arborescence est déplacée en même temps qu'une partition.

Exemple :

création et déplacement d'une partition à l'aide de ConsoleOne ou de iManager dans un autre conteneur.

36

ndsMoveTreeEnd

Le déplacement d'une sous-arborescence est terminé.

Une sous-arborescence est déplacée lors de la fusion d'une partition.

Exemple :

création et déplacement d'une partition à l'aide de ConsoleOne ou de iManager dans un autre conteneur.

37

ndsJoinPartitionDone

La jonction des partitions est terminée.

Exemple :

création et fusion d'une partition à l'aide de ConsoleOne ou de iManager.

38

ndsPartitionLocked

Une partition est verrouillée (par exemple, avant la fusion des partitions).

Exemple :

création d'une partition via ConsoleOne ou iManager.

39

ndsPartitionUnlocked

Une partition est déverrouillée (par exemple, après la fusion des partitions).

Exemple :

création d'une partition via ConsoleOne ou iManager.

40

ndsSchemaSync

Les schémas sont synchronisés.

Exemple :

planification de la synchronisation du schéma via ldapsdk schsync.

41

ndsNameCollision

Deux objets résidant sur des serveurs différents portent le même nom (ils entrent en collision).

Exemple :

désactivation de la synchronisation sortante des serveurs primaire et secondaire d'une arborescence via iMonitor. Ajoutez des objets Utilisateur aux deux serveurs à l'aide des outils LDAP. Puis, activez la synchronisation sortante des deux serveurs via iMonitor.

42

ndsNLMLoaded

Un programme NLMTM est chargé dans NetWare.

Cette trappe est uniquement applicable à NetWare.

Exemple :

chargement ou déchargement de nldap.nlm.

43

ndsChangeModuleState

Un module eDirectory (NLM/DLM) est chargé ou déchargé.

Exemple :

chargement ou déchargement du module nldap.

44

ndsLumberDone

Le processus en arrière-plan de contrôle de la connectivité est lancé.

45

ndsBacklinkProcDone

Le processus de liaison en amont est terminé.

Exemple :

configuration de dstrace en vue du lancement de la liaison en amont après une période donnée.

46

ndsServerRename

Un serveur est renommé.

Exemple :

utilisation de ldapmodrdn ou ldapsdk pour renommer le serveur.

47

ndsSyntheticTime

Des objets sont créés avec des tampons horaires futurs. Pour synchroniser les serveurs eDirectory, il convient d'appeler l'heure synthétique.

Exemple :

ajout d'un serveur secondaire à l'arborescence via ndsconfig.

48

ndsServerAddressChange

Le contrôleur de connectivité (limber) modifie une adresse de renvoi du serveur.

Exemple :

modification de l'adresse IP du serveur et redémarrage de ndsd.

49

ndsDSARead

Une entrée est lue.

Cette trappe est générée pour toutes les opérations exécutées sur eDirectory.

Exemple :

utilisation de ldapsearch pour générer des trappes.

50

ndsLogin

Un utilisateur se logue à eDirectory.

Exemple :

login à l'arborescence via ndslogin.

51

ndsChangePassword

Un mot de passe est modifié.

Exemple :

modification du mot de passe d'un objet Utilisateur via ldapmodify.

52

ndsLogout

Un utilisateur se délogue de eDirectory.

Exemple :

déconnexion de l'arborescence à l'aide du client Novell.

53

ndsAddReplica

Une réplique est ajoutée à une partition de serveur.

Exemple :

ajout d'une réplique à l'arborescence via ndsconfig.

54

ndsRemoveReplica

Une réplique est supprimée.

Exemple :

suppression d'une réplique de l'un des serveurs via ConsoleOne ou iManager.

55

ndsSplitPartition

Une partition est divisée.

Exemple :

création d'une partition via ConsoleOne ou iManager.

56

ndsJoinPartition

Une partition parente est associée à une partition enfant.

Exemple :

création et jonction d'une partition à l'aide de ConsoleOne ou de iManager.

57

ndsChangeReplicaType

Le type de réplique d'une partition est modifié.

Exemple :

modification du type de réplique de " réplique maîtresse " en " réplique Lecture-écriture ".

58

ndsAddEntry

Un nouvel objet est ajouté.

Exemple :

ajout d'un objet Utilisateur à l'aide de ConsoleOne ou de iManager.

59

ndsAbortPartitionOp

Une opération de partition est abandonnée.

Exemple :

partitionnement d'un conteneur et abandon de l'opération de partitionnement.

60

ndsRecvReplicaUpdates

Une réplique reçoit une mise à jour lors de la synchronisation.

Exemple :

un serveur eDirectory dans une configuration d'arborescence multiserveur demande des mises à jour de la réplique qu'il détient. Cette opération peut s'effectuer via ConsoleOne ou iManager.

61

ndsRepairTimeStamps

Les tampons horaires d'une réplique font l'objet d'une réparation.

Exemple :

exécution d'une opération de réparation de la DIB pour les tampons horaires à l'aide de dsrepair (ndsrepair sous UNIX ou NDSCons sous Windows.)

62

ndsSendReplicaUpdates

Une réplique est mise à jour lors de la synchronisation.

Exemple :

un serveur eDirectory dans une configuration d'arborescence multiserveur envoie des mises à jour de la réplique qu'il détient. Cette opération peut s'effectuer via ConsoleOne ou iManager.

63

ndsVerifyPass

Un mot de passe est vérifié.

Exemple :

lorsque le mot de passe expire, saisissez-le à nouveau pour confirmation à l'invite de modification du mot de passe.

64

ndsBackupEntry

Une entrée est sauvegardée.

Exemple :

sauvegarde d'objets Annuaire à l'aide de l'utilitaire dsbackup (ndsbackup sous UNIX ou NDSCons sous Windows).

65

ndsRestoreEntry

Une entrée est restaurée.

Exemple :

restauration des objets Annuaire sauvegardés à l'aide de l'utilitaire dsbackup (ndsbackup sous UNIX ou NDSCons sous Windows).

66

ndsDefineAttributeDef

Une définition d'attribut est ajoutée au schéma.

Exemple :

extension du schéma de l'arborescence eDirectory par l'ajout d'une définition d'attribut. Le schéma peut être étendu lors de l'installation d'une application dépendante de eDirectory, telle que ZENWorks® ou NMASTM. L'extension du schéma peut également s'effectuer via ConsoleOne, iManager ou l'utilitaire d'extension de schéma ndssch sous UNIX.

67

ndsRemoveAttributeDef

Une définition d'attribut est supprimée du schéma.

Exemple :

suppression d'une définition d'attribut du schéma de l'arborescence eDirectory. La suppression du schéma peut également s'effectuer via ConsoleOne, iManager ou l'utilitaire d'extension de schéma ndssch sous UNIX.

68

ndsRemoveClassDef

Une définition de classe est supprimée du schéma.

Exemple :

suppression d'une définition de classe d'objet du schéma de l'arborescence eDirectory. La suppression de la classe peut également s'effectuer via ConsoleOne, iManager ou l'utilitaire d'extension de schéma ndssch sous UNIX.

69

ndsDefineClassDef

Une définition de classe est ajoutée au schéma.

Exemple :

extension du schéma de l'arborescence eDirectory par l'ajout d'une nouvelle classe. Le schéma peut être étendu lors de l'installation d'une application dépendante de eDirectory, telle que ZENWorks ou NMAS. L'extension du schéma peut également s'effectuer via ConsoleOne, iManager ou l'utilitaire d'extension de schéma ndssch sous UNIX.

70

ndsModifyClassDef

Une définition de classe est modifiée.

Exemple :

modification d'une classe d'objet ou de définitions d'attribut.

71

ndsResetDSCounters

Les compteurs internes de eDirectory sont réinitialisés.

72

ndsRemoveEntryDir

Un répertoire de fichiers associé à une entrée est supprimé.

73

ndsCompAttributeValue

Les valeurs des attributs sont comparées.

Exemple :

comparaison d'une valeur d'attribut à un objet, exécution d'une opération de recherche LDAP par rapport à un objet Utilisateur pour vérifier si son numéro de téléphone correspond à la valeur entrée.

74

ndsOpenStream

Un attribut de flux est ouvert ou fermé.

Exemple :

création ou ouverture d'un flux pour des opérations de lecture ou d'écriture. Création d'un script de login pour un objet Utilisateur. La génération de cette trappe résulte de la création d'un fichier sous le répertoire DIB.

75

ndsListSubordinates

Une opération consistant à lister les entrées subordonnées est exécutée sur un objet Conteneur. Il s'agit d'une recherche sur un niveau.

Exemple :

à l'aide de ConsoleOne ou de iManager, cliquez sur un objet Conteneur pour lister ses objets subordonnés.

76

ndsListContainerClasses

Une opération Répertorier les classes pouvant être contenues est exécutée sur une entrée.

Exemple :

pour un objet donné, énumération des classes de conteneurs susceptibles de contenir l'objet.

Lorsque la requête porte sur un objet Utilisateur, les classes de conteneurs listées peuvent être les suivantes : Organisation, Unité organisationnelle et Domaine.

77

ndsInspectEntry

Une opération Inspecter l'entrée est exécutée sur une entrée.

Exemple :

inspection d'une entrée pour obtenir des informations la concernant et vérifier si des erreurs se sont produites à ce niveau. Cet événement est généré dans le cadre du processus d'arrière-plan Gestionnaire d'attributs (Flat Cleaner) de eDirectory, qui entraîne la génération de cette trappe.

78

ndsResendEntry

Une opération Envoyer à nouveau l'entrée est exécutée sur une entrée.

Exemple :

durant une opération de réplication, lorsqu'une entrée est renvoyée en raison d'un échec lors de l'envoi précoce de l'objet dû à la connexion entre les serveurs.

79

ndsMutateEntry

Une opération Muter l'entrée est exécutée sur une entrée.

Exemple :

mutation d'une classe d'objet Bindery en classe d'objet Utilisateur.

80

ndsMergeEntries

Deux entrées sont fusionnées.

Exemple :

fusion de deux objets Utilisateur. Fusion de l'entrée 2 (ndsEntryName2) avec l'entrée (ndsEntryName).

81

ndsMergeTree

Deux arborescences eDirectory sont fusionnées.

Exemple :

fusion de deux arborescences eDirectory via dsmerge (ndsmerge sous UNIX ou NDSCons sous Windows).

82

ndsCreateSubref

Une référence subordonnée est créée.

Exemple :

lorsque vous supprimez la réplique de la partition enfant d'un serveur, la réplique de référence subordonnée est créée automatiquement, ce qui entraîne la génération de cette trappe.

83

ndsListPartitions

Une opération Répertorier les partitions est exécutée.

Exemple :

à l'aide de ConsoleOne ou de iManager, dans la vue Partition et schéma, cliquez sur l'objet Serveur eDirectory pour lister les partitions que contient le serveur.

84

ndsReadAttribute

Une valeur d'attribut est lue.

Exemple :

exécution d'une opération de recherche sur l'arborescence.

85

ndsReadReferences

Les références d'une entrée sont lues.

86

ndsUpdateReplica

Une opération Mettre à jour la réplique est exécutée sur une réplique de partition.

Exemple :

si vous supprimez un utilisateur de l'un des serveurs, l'autre réplique est mise à jour de façon à prendre en compte l'opération de suppression.

87

ndsStartUpdateReplica

Une opération Début de la mise à jour de la réplique est exécutée sur une réplique de partition.

Exemple :

si vous supprimez un utilisateur de l'un des serveurs, l'autre réplique est mise à jour de façon à prendre en compte l'opération de suppression.

88

ndsEndUpdateReplica

Une opération Fin de la mise à jour de la réplique est exécutée sur une réplique de partition.

Exemple :

si vous supprimez un utilisateur de l'un des serveurs, l'autre réplique est mise à jour de façon à prendre en compte l'opération de suppression.

89

ndsSyncPartition

Une opération Sync. - Partition est exécutée sur une réplique de partition.

Exemple :

suppression d'un utilisateur de l'une des partitions, puis possibilité d'examiner la synchronisation à l'aide de ndstrace.

90

ndsSyncSchema

La réplique maîtresse de la racine est invitée à synchroniser son schéma avec le serveur.

Exemple :

ajout d'une nouvelle classe via ConsoleOne > Assistant > Schéma, outils LDAP ou utilitaires ndssch.

91

ndsCreateBackLink

Un lien en amont est créé. (ce type de lien est créé lorsqu'il est fait référence à un objet qui n'est pas présent au niveau local). Exemple : dans un scénario multiserveur, création d'une partition contenant certains utilisateurs. La suppression de cette partition de l'un des serveurs entraîne la création d'une référence subordonnée. Un lien en amont est créé pour tous les utilisateurs présents dans la partition supprimée.

92

ndsCheckConsoleOperator

Le processus de liaison en amont vérifie les privilèges de l'opérateur de la console.

Cette trappe est uniquement applicable à NetWare.

93

ndsChangeTreeName

Le nom de l'arborescence est modifié.

Exemple :

exécution de l'utilitaire de fusion dsmerge/ndsmerge pour renommer l'arborescence.

94

ndsStartJoinPartition

Une opération Début de la jonction est exécutée pour fusionner des partitions.

Exemple :

fusion ou jonction de partitions via ConsoleOne ou les outils LDAP.

95

ndsAbortJoinPartition

Une opération Joindre les partitions est abandonnée pour arrêter la fusion des partitions.

Exemple :

fusion ou jonction de partitions via ConsoleOne ou les outils LDAP.

96

ndsUpdateSchema

Une opération Mettre à jour le schéma est exécutée.

Exemple :

ajout d'une nouvelle classe via ConsoleOne > Assistant > Schéma, outils LDAP ou ndssch.

97

ndsStartUpdateSchema

Une opération Début de la mise à jour du schéma est exécutée.

Exemple :

ajout d'une nouvelle classe via ConsoleOne > Assistant > Schéma, outils LDAP ou ndssch.

98

ndsEndUpdateSchema

Une opération Fin de la mise à jour du schéma est exécutée.

Exemple :

ajout d'une nouvelle classe via ConsoleOne > Assistant > Schéma, outils LDAP ou ndssch.

99

ndsMoveTree

Une opération Déplacer l'arborescence est exécutée.

Exemple :

déplacement d'une partition d'un conteneur à un autre.

100

ndsReloadDS

DS est de nouveau chargé.

Cette trappe est uniquement applicable à NetWare.

Exemple :

set dstrace=*.

101

ndsConnectToAddress

Une connexion est établie avec une adresse particulière.

Exemple :

parcours de l'arborescence à l'aide de ConsoleOne ou de iManager.

102

ndsSearch

Une opération Rechercher est exécutée.

Exemple :

exécution de ldapsearch sur l'arborescence à l'aide des outils LDAP.

103

ndsPartitionStateChange

Une partition est créée ou supprimée.

Exemple :

création d'une partition.

104

ndsRemoveBacklink

Des références externes inutilisées sont supprimées et le serveur envoie une requête de suppression de lien en amont au serveur contenant l'objet.

105

ndsLowLevelJoinPartition

Une jonction de faible niveau est exécutée durant les opérations de fusion des partitions.

Exemple :

fusion ou jonction de partitions via ConsoleOne, iManager ou les outils LDAP.

106

ndsCreateNameBase

Une base de noms eDirectory est créée.

107

ndsChangeSecurityEquals

L'attribut Équivalents de sécurité est modifié.

Exemple :

modification de l'équivalent de sécurité d'un utilisateur pour le rendre équivalent à Admin via ConsoleOne ou iManager.

108

ndsRemoveEntry

Une entrée est supprimée de eDirectory.

Exemple :

suppression d'un utilisateur à l'aide de ConsoleOne ou de iManager.

109

ndsCRCFailure

Un échec CRC se produit au cours de la reconstruction de requêtes NCP fragmentées.

110

ndsModifyEntry

Une entrée de eDirectory est modifiée.

Exemple :

modification des attributs d'un utilisateur via ConsoleOne ou iManager.

111

ndsNewSchemaEpoch

Le schéma est réinitialisé via DSRepair.

Exemple :

création d'une période de schéma à l'aide de ndsrepair -S -Ad sous UNIX.

112

ndsLowLevelSplitPartition

Une division de faible niveau est exécutée lors de la création d'une partition.

Exemple :

création d'une partition via ConsoleOne, iManager ou les outils LDAP.

113

ndsReplicaInTransition

Une réplique est ajoutée ou supprimée.

114

ndsAclModify

L'ayant droit d'un objet est modifié (un objet Liste de contrôle d'accès (ACL) est modifié).

Exemple :

ajout, modification ou suppression de l'ayant droit d'un objet via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

115

ndsLoginEnable

Le serveur reçoit une requête visant à activer le compte utilisateur.

Exemple :

activation de l'attribut Compte désactivé via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

116

ndsLoginDisable

Le serveur reçoit une requête visant à désactiver le compte utilisateur.

Exemple :

désactivation de l'attribut Compte désactivé via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

117

ndsDetectIntruder

Un compte utilisateur est verrouillé suite à la détection d'un intrus.

Exemple :

verrouillage au moyen de l'attribut Intrus via les outils LDAP, ICE, ConsoleOne ou iManager.

2001

ndsServerStart

Le sous-agent réussit à se reconnecter au serveur eDirectory. Cette trappe comporte deux variables :

  • ndsTrapTime : variable contenant le nombre total de secondes depuis minuit (24:00) du 1er janvier 1970 GMT (TU), date à laquelle le sous-agent a réussi à se reconnecter au serveur eDirectory.
  • ndsServerName : serveur eDirectory auquel le sous-agent a réussi à se reconnecter.

Exemple :

arrêt et démarrage du serveur eDirectory alors que le sous-agent est en cours d'exécution.

2002

ndsServerStop

Le sous-agent perd sa connexion au serveur eDirectory. Cette trappe comporte deux variables :

  • ndsTrapTime : variable contenant le nombre total de secondes depuis minuit (24:00) du 1er janvier 1970 GMT (TU), date à laquelle le sous-agent a perdu sa connexion au serveur eDirectory.
  • ndsServerName : serveur eDirectory dont le sous-agent s'est déconnecté.

Exemple :

arrêt du serveur eDirectory alors que le sous-agent est en cours d'exécution.


Configuration des trappes

La méthode de configuration des trappes diffère d'une plate-forme à une autre.

Plate-forme Utilitaire

NetWare

dssnmpsa

Windows

ndssnmpcfg

UNIX

ndssnmpconfig


NetWare

L'utilitaire dssnmpsa permet de configurer les trappes sous NetWare. Il réside dans le répertoire sys:\etc\. Cet utilitaire permet d'activer et de désactiver les trappes, de définir l'intervalle de temps des trappes individuelles, de définir un intervalle de temps par défaut, d'activer des trappes pour les opérations en échec et de lister toutes les trappes.

Pour obtenir de l'aide sur l'utilisation de dssnmpsa, entrez help dssnmpsa dans la ligne de commande.

Utilisation :

dssnmpsa commandes de trappes

Pour plus d'informations sur les commandes de trappes sous NetWare, reportez-vous à Commandes de trappes NetWare.


Commandes de trappes NetWare
Commandes de trappes Description Utilisation

DISABLE

La désactivation d'une trappe est liée au fait que la NMS ne reçoit pas de trappes, bien que ces dernières soient générées.

dssnmpsa "DISABLE Spécification_trappe"

Il peut s'agir de l'une des spécifications suivantes :

Pour désactiver des trappes spécifiques, par exemple les trappes 10, 11 et 100 :

dssnmpsa "DISABLE 10, 11, 100"

Pour désactiver toutes les trappes, excepté les trappes 10, 11 et 100 :

dssnmpsa "DISABLE ID != 10, 11, 100"

Pour désactiver toutes les trappes comprises dans la plage allant de 20 à 30 :

dssnmpsa "DISABLE 20-29"

Pour désactiver toutes les trappes :

dssnmpsa "DISABLE ALL"

ENABLE

L'activation d'une trappe est liée au fait que la NMS reçoit les trappes lorsqu'elles sont générées.

dssnmpsa " ENABLE Spécification_trappe"

Il peut s'agir de l'une des spécifications suivantes :

Pour activer des trappes spécifiques, par exemple les trappes 10, 11 et 100 :

dssnmpsa "ENABLE 10, 11, 100"

Pour activer toutes les trappes, excepté les trappes 10, 11 et 100 :

dssnmpsa "ENABLE ID != 10, 11, 100"

Pour activer toutes les trappes comprises dans la plage allant de 20 à 30 :

dssnmpsa "ENABLE 20-29"

Pour activer toutes les trappes :

dssnmpsa "ENABLE ALL"

INTERVAL

Cet utilitaire permet de définir et d'afficher l'intervalle de temps.

Celui-ci correspond au nombre de secondes précédant l'envoi de trappes en double.

Sa valeur doit être comprise entre 0 et 2 592 000 secondes.

Si ce n'est pas le cas, l'intervalle de temps par défaut est pris en compte.

S'il présente la valeur zéro, toutes les trappes sont envoyées.

Pour afficher l'intervalle de temps :

dssnmpsa"213,240,79 INTERVAL"

Pour définir l'intervalle de temps entre plusieurs trappes (par exemple, pour définir l'intervalle de temps entre les trappes 12, 17 et 101 à 5) :

dssnmpsa "12 17 101 INTERVAL 5"

Pour afficher l'intervalle de temps par défaut :

dssnmpsa "DEFAULT INTERVAL"

Pour définir l'intervalle de temps par défaut :

dssnmpsa "DEFAULT INTERVAL = 10"

LIST

Cet utilitaire permet d'afficher des listes de numéros de trappe répondant à des critères spécifiés.

dssnmpsa LIST Spécification_trappe

La valeur Spécification_trappe permet de spécifier des groupes de numéros de trappe et peut être suivie de l'un des mots-clés suivants :

ALL, ENABLED, DISABLED, FAILED ou une expression logique

Exemples :

Pour lister toutes les trappes activées par leur nom :

dssnmpsa LIST ENABLED

Pour lister toutes les trappes désactivées par nom :

dssnmpsa LIST DISABLED

Pour lister toutes les trappes (119) par nom :

dssnmpsa LIST ALL

Pour lister des trappes spécifiques telles que 12, 224 et 300 par nom :

dssnmpsa LIST ID = 12,224,300

Pour lister toutes les trappes, excepté celles sélectionnées, telles que 12, 224 et 300 par nom :

dssnmpsa LIST ID != 12,224,300

Pour lister toutes les trappes activées en cas d'échec par nom :

dssnmpsa LIST FAILED

READ_CFG

Cette commande permet de modifier la configuration de l'annuaire à partir du fichier de configuration ndstrap.cfg.

Toutes les modifications spécifiées dans ce fichier sont alors appliquées. Cet utilitaire sert principalement à regrouper plusieurs commandes dans le fichier ndstrap.cfg et d'exécuter l'opération en une fois.

Le fichier ndstrap.cfg réside dans le répertoire sys:\etc\.

Il indique les paramètres généraux à utiliser pour configurer les trappes et constitue un moyen de configurer le fonctionnement des trappes SNMP. Ce fichier est lu à chaque fois que l'utilitaire de configuration de trappe dssnmpsa est exécuté avec la commande READ_CFG.

dssnmpsa "READ_CFG"

FAILURE

Cette commande permet de lister toutes les trappes activées pour être mises en échec.

Lorsqu'un événement échoue, une trappe d'échec est générée.

REMARQUE :  si la trappe est activée en cas d'échec, puis désactivée avant d'être à nouveau activée via la commande enable trapid, elle est alors activée en cas de réussite, et non d'échec.

dssnmpsa " FAILURE Spécification_trappe"

La valeur Spécification_trappe se compose d'un ou de plusieurs numéros de trappe séparés par une virgule ou un espace, du mot-clé ALL ou d'une expression logique. Exemples :

Pour activer en échec plusieurs trappes :

dssnmpsa "FAILURE 10,11,100"

Pour activer en échec toutes les trappes, à l'exception de celles mentionnées :

dssnmpsa "FAILURE ID != 24,30"

Pour activer en échec toutes les trappes :

dssnmpsa "FAILURE ALL"


Windows

L'utilitaire ndssnmpcfg permet de configurer les trappes sous Windows. Il réside dans le répertoire chemin_installation\snmp\. Cet utilitaire permet d'activer et de désactiver les trappes, de définir l'intervalle de temps des trappes individuelles, de définir un intervalle de temps par défaut, d'activer des trappes pour les opérations en échec et de lister toutes les trappes.

Utilisation :

ndssnmpcfg -h [nom_hôte[:port]] -p mot_de_passe -a FDN_utilisateur -c commande

Paramètre Description

-h

Nom d'hôte DNS ou adresse IP

-p

Mot de passe d'authentification du FDN utilisateur

-a

Nom distinctif complet d'un utilisateur disposant de droits d'administrateur

-c

Commandes de trappes (Reportez-vous à Commandes de trappes Windows.)


Commandes de trappes Windows
Commandes de trappes Description Utilisation

DISABLE

La désactivation d'une trappe est liée au fait que la NMS ne reçoit pas de trappes, bien que ces dernières soient générées.

Pour désactiver des trappes spécifiques, par exemple les trappes 10, 11 et 100 :

ndssnmpcfg "DISABLE 10, 11, 100"

Pour désactiver toutes les trappes, excepté les trappes 10, 11 et 100 :

ndssnmpcfg "DISABLE ID != 10, 11, 100"

Pour désactiver toutes les trappes comprises dans la plage allant de 20 à 30 :

ndssnmpcfg "DISABLE 20-29"

Pour désactiver toutes les trappes :

ndssnmpcfg "DISABLE ALL"

ENABLE

L'activation d'une trappe est liée au fait que la NMS reçoit les trappes lorsqu'elles sont générées.

ndssnmpcfg "ENABLE Spécification_trappe"

Il peut s'agir de l'une des spécifications suivantes :

Pour activer des trappes spécifiques, par exemple les trappes 10, 11 et 100 :

ndssnmpcfg "ENABLE 10, 11, 100"

Pour activer toutes les trappes, excepté les trappes 10, 11 et 100 :

ndssnmpcfg "ENABLE ID != 10, 11, 100"

Pour activer toutes les trappes comprises dans la plage allant de 20 à 30 :

ndssnmpcfg "ENABLE 20-29"

Pour activer toutes les trappes :

ndssnmpcfg "ENABLE ALL"

INTERVAL

Cet utilitaire permet de définir et d'afficher l'intervalle de temps.

Celui-ci correspond au nombre de secondes précédant l'envoi de trappes en double.

Sa valeur doit être comprise entre 0 et 2 592 000 secondes.

Si ce n'est pas le cas, l'intervalle de temps par défaut est pris en compte.

S'il présente la valeur zéro, toutes les trappes sont envoyées.

Pour afficher l'intervalle de temps :

ndssnmpcfg "213,240,79 INTERVAL"

Pour définir l'intervalle de temps entre plusieurs trappes (par exemple, pour définir l'intervalle de temps entre les trappes 12, 17 et 101 à 5) :

ndssnmpcfg "12 17 101 INTERVAL 5"

Pour afficher l'intervalle de temps par défaut :

ndssnmpcfg "DEFAULT INTERVAL"

Pour définir l'intervalle de temps par défaut :

ndssnmpcfg "DEFAULT INTERVAL=10"

LIST

Cet utilitaire permet d'afficher des listes de numéros de trappe répondant à des critères spécifiés.

ndssnmpcfg LIST Spécification_trappe

La valeur Spécification_trappe permet de spécifier des groupes de numéros de trappe et peut être suivie de l'un des mots-clés suivants :

ALL, ENABLED, DISABLED, FAILED ou une expression logique

Exemples :

Pour lister toutes les trappes activées par leur nom :

ndssnmpcfg LIST ENABLED

Pour lister toutes les trappes désactivées par nom :

ndssnmpcfg LIST DISABLED

Pour lister toutes les trappes (119) par nom :

ndssnmpcfg LIST ALL

Pour lister des trappes spécifiques telles que 12, 224 et 300 par nom :

ndssnmpcfg LIST ID = 12,224,300

Pour lister toutes les trappes, excepté celles sélectionnées, telles que 12, 224 et 300 par nom :

ndssnmpcfg LIST ID != 12,224,300

Pour lister toutes les trappes activées en cas d'échec par nom :

ndssnmpcfg LIST FAILED

READ_CFG

Cette commande permet de modifier la configuration de l'annuaire à partir du fichier de configuration ndstrap.cfg.

Toutes les modifications spécifiées dans ce fichier sont alors appliquées. Cet utilitaire sert principalement à regrouper plusieurs commandes dans le fichier ndstrap.cfg et d'exécuter l'opération en une fois.

Le fichier ndstrap.cfg réside dans répertoire d'installation\SNMP

Il indique les paramètres généraux à utiliser pour configurer les trappes et constitue un moyen de configurer le fonctionnement des trappes SNMP. Ce fichier est lu à chaque fois que l'utilitaire de configuration de trappe ndssnmpcfg est exécuté avec la commande READ_CFG.

ndssnmpcfg "READ_CFG"

FAILURE

Cette commande permet de lister toutes les trappes activées pour être mises en échec.

Lorsqu'un événement échoue, une trappe d'échec est générée.

REMARQUE :  si la trappe est activée en cas d'échec, puis désactivée avant d'être à nouveau activée via la commande enable trapid, elle est alors activée en cas de réussite, et non d'échec.

ndssnmpcfg "FAILURE Spécification_trappe"

La valeur Spécification_trappe se compose d'un ou de plusieurs numéros de trappe séparés par une virgule ou un espace, du mot-clé ALL ou d'une expression logique. Exemples :

Pour activer en échec plusieurs trappes :

ndssnmpcfg "FAILURE 10,11,100"

Pour activer en échec toutes les trappes, à l'exception de celles mentionnées :

ndssnmpcfg "FAILURE ID != 24,30"

Pour activer en échec toutes les trappes :

ndssnmpcfg "FAILURE ALL"


UNIX

L'utilitaire ndssnmpconfig permet de configurer les trappes sous UNIX. Il réside dans le répertoire /etc/ndssnmp/. Cet utilitaire permet d'activer et de désactiver les trappes, de définir l'intervalle de temps des trappes individuelles, de définir un intervalle de temps par défaut, d'activer des trappes pour les opérations en échec et de lister toutes les trappes.

Utilisation :

ndssnmpconfig -h [nom_hôte[:port]] -p mot_de_passe -a FDN_utilisateur -c commande

Paramètre Description

-h

Nom d'hôte DNS ou adresse IP

-p

Mot de passe d'authentification du FDN utilisateur

-a

Nom distinctif complet d'un utilisateur disposant de droits d'administrateur

-c

Commandes de trappes (Reportez-vous à Commandes de trappes UNIX.)


Commandes de trappes UNIX
Commandes de trappes Description Utilisation

DISABLE

La désactivation d'une trappe est liée au fait que la NMS ne reçoit pas de trappes, bien que ces dernières soient générées.

Pour désactiver des trappes spécifiques, par exemple les trappes 10, 11 et 100 :

ndssnmpconfig "DISABLE 10, 11, 100"

Pour désactiver toutes les trappes, excepté les trappes 10, 11 et 100 :

ndssnmpconfig "DISABLE ID != 10, 11, 100"

Pour désactiver toutes les trappes comprises dans la plage allant de 20 à 30 :

ndssnmpconfig "DISABLE 20-29"

Pour désactiver toutes les trappes :

ndssnmpconfig "DISABLE ALL"

ENABLE

L'activation d'une trappe est liée au fait que la NMS reçoit les trappes lorsqu'elles sont générées.

ndssnmpconfig "ENABLE Spécification_trappe"

Il peut s'agir de l'une des spécifications suivantes :

Pour activer des trappes spécifiques, par exemple les trappes 10, 11 et 100 :

ndssnmpconfig "ENABLE 10, 11, 100"

Pour activer toutes les trappes, excepté les trappes 10, 11 et 100 :

ndssnmpconfig "ENABLE ID != 10, 11, 100"

Pour activer toutes les trappes comprises dans la plage allant de 20 à 30 :

ndssnmpconfig "ENABLE 20-29"

Pour activer toutes les trappes :

ndssnmpconfig "ENABLE ALL"

INTERVAL

Cet utilitaire permet de définir et d'afficher l'intervalle de temps.

Celui-ci correspond au nombre de secondes précédant l'envoi de trappes en double.

Sa valeur doit être comprise entre 0 et 2 592 000 secondes.

Si ce n'est pas le cas, l'intervalle de temps par défaut est pris en compte.

S'il présente la valeur zéro, toutes les trappes sont envoyées.

Pour afficher l'intervalle de temps :

ndssnmpconfig "213,240,79 INTERVAL"

Pour définir l'intervalle de temps entre plusieurs trappes (par exemple, pour définir l'intervalle de temps entre les trappes 12, 17 et 101 à 5) :

ndssnmpconfig "12 17 101 INTERVAL 5"

Pour afficher l'intervalle de temps par défaut :

ndssnmpconfig "DEFAULT INTERVAL"

Pour définir l'intervalle de temps par défaut :

ndssnmpconfig "DEFAULT INTERVAL=10"

LIST

Cet utilitaire permet d'afficher des listes de numéros de trappe répondant à des critères spécifiés.

ndssnmpconfig LIST <Spécification_trappe>

La valeur Spécification_trappe permet de spécifier des groupes de numéros de trappe et peut être suivie de l'un des mots-clés suivants :

ALL, ENABLED, DISABLED, FAILED ou une expression logique

Exemples :

Pour lister toutes les trappes activées par leur nom :

ndssnmpconfig LIST ENABLED

Pour lister toutes les trappes désactivées par nom :

ndssnmpconfig LIST DISABLED

Pour lister toutes les trappes (119) par nom :

ndssnmpconfig LIST ALL

Pour lister des trappes spécifiques telles que 12, 224 et 300 par nom :

ndssnmpconfig LIST ID = 12,224,300

Pour lister toutes les trappes, excepté celles sélectionnées, telles que 12, 224 et 300 par nom :

ndssnmpconfig LIST ID != 12,224,300

Pour lister toutes les trappes activées en cas d'échec par nom :

ndssnmpconfig LIST FAILED

READ_CFG

Cette commande permet de modifier la configuration de l'annuaire à partir du fichier de configuration ndstrap.cfg.

Toutes les modifications spécifiées dans ce fichier sont alors appliquées. Cet utilitaire sert principalement à regrouper plusieurs commandes dans le fichier ndstrap.cfg et à exécuter l'opération en une seule fois.

Ce fichier est enregistré dans /etc/ndssnmp/.

Il indique les paramètres généraux à utiliser pour configurer les trappes et constitue un moyen de configurer le fonctionnement des trappes SNMP. Ce fichier est lu à chaque fois que l'utilitaire de configuration de trappe ndssnmpcfg est exécuté avec la commande READ_CFG.

ndssnmpconfig "READ_CFG"

FAILURE

Cette commande permet de lister toutes les trappes activées pour être mises en échec.

Lorsqu'un événement échoue, une trappe d'échec est générée.

REMARQUE :  si la trappe est activée en cas d'échec, puis désactivée avant d'être à nouveau activée via la commande enable trapid, elle est alors activée en cas de réussite, et non d'échec.

ndssnmpconfig "FAILURE Spécification_trappe"

La valeur Spécification_trappe se compose d'un ou de plusieurs numéros de trappe séparés par une virgule ou un espace, du mot-clé ALL ou d'une expression logique. Exemples :

Pour activer en échec plusieurs trappes :

ndssnmpconfig "FAILURE 10,11,100"

Pour activer en échec toutes les trappes, à l'exception de celles mentionnées :

ndssnmpconfig "FAILURE ID != 24,30"

Pour activer en échec toutes les trappes :

ndssnmpconfig "FAILURE ALL"


Statistiques


ndsDbCache

Objets gérés dans l'Annuaire Description

ndsDbSrvApplIndex

Index permettant d'identifier de façon unique l'application serveur eDirectory.

ndsDbDibSize

Taille actuelle de la base de données eDirectory en Ko.

ndsDbBlockSize

Taille des blocs de la base de données eDirectory en Ko.

ndsDbEntryCacheMaxSize

Informations relatives à la taille maximum du cache d'entrées en Ko.

ndsDbBlockCacheMaxSize

Informations relatives à la taille maximum du cache de blocs en Ko.

ndsDbEntryCacheCurrentSize

Informations relatives à la taille actuelle du cache d'entrées.

ndsDbBlockCacheCurrentSize

Informations relatives à la taille actuelle du cache de blocs.

ndsDbEntryCacheCount

Informations relatives au nombre d'entrées du cache.

ndsDbBlockCacheCount

Informations relatives au nombre de blocs du cache.

ndsDbEntryCacheOldVerCount

Informations relatives au nombre d'entrées de la version précédente mises en cache.

ndsDbBlockCacheOldVerCount

Informations relatives au nombre de blocs de la version précédente mis en cache.

ndsDbEntryCacheOldVerSize

Informations relatives à la taille de la version précédente du cache d'entrées.

ndsDbBlockCacheOldVerSize

Informations relatives à la taille de la version précédente du cache de blocs.

ndsDbEntryCacheHits

Informations relatives au nombre d'occurrences d'entrées.

ndsDbBlockCacheHits

Informations relatives au nombre d'occurrences de blocs.

ndsDbEntryCacheHitLooks

Informations relatives au nombre d'entrées examinées pour trouver des occurrences.

ndsDbBlockCacheHitLooks

Informations relatives au nombre de blocs examinés pour trouver des occurrences.

ndsDbEntryCacheFaults

Informations relatives au nombre de pannes d'entrées.

ndsDbBlockCacheFaults

Informations relatives au nombre de pannes de blocs.

ndsDbEntryCacheFaultLooks

Informations relatives au nombre d'entrées examinées pour déterminer les occurrences manquantes.

ndsDbBlockCacheFaultLooks

Informations relatives au nombre de blocs examinés pour déterminer les occurrences manquantes.


ndsDbConfig

Objets gérés dans l'Annuaire Description

ndsDbCfgSrvApplIndex

Index permettant d'identifier de façon unique l'application serveur eDirectory.

ndsDbCfgDynamicCacheAdjust

Information indiquant si l'ajustement dynamique du cache est activé ou désactivé. 0 = désactivé 1 = activé

ndsDbCfgDynamicCacheAdjustPercent

Information sur le paramètre de pourcentage de l'ajustement dynamique du cache de la mémoire disponible.

ndsDbCfgDynamicCacheAdjustMin

Informations sur le paramètre de valeur minimale de l'ajustement dynamique du cache. Ce s'agit des valeurs de contraintes relatives à la taille du cache exprimées en Ko.

ndsDbCfgDynamicCacheAdjustMinToLeave

Informations sur le paramètre de valeur minimale de l'ajustement dynamique du cache en Ko qui doit être soustraite de la taille totale de la mémoire disponible en Ko.

ndsDbCfgHardLimitCacheAdjust

Information indiquant si l'ajustement de la limite stricte du cache est activé ou désactivé. 0 = désactivé 1 = activé

ndsDbCfgHardLimitCacheAdjustMax

Information relative à la taille maximum du cache en Ko. Il s'agit d'un paramètre de limite stricte.

ndsDbCfgBlockCachePercent

Informations relatives au pourcentage du cache de blocs.

ndsDbCfgCacheAdjustInterval

Information relative à l'intervalle d'ajustement du cache en secondes.

ndsDbCfgCacheCleanupInterval

Information relative à l'intervalle de nettoyage du cache en secondes.

ndsDbCfgPermanentSettings

Informations indiquant si les paramètres permanents sont activés ou désactivés. 0 = désactivé 1 = activé


ndsProtoIfOps

Objets gérés dans l'Annuaire Description

ndsProtoIfSrvApplIndex

Index permettant d'identifier de façon unique l'application serveur eDirectory.

ndsProtoIfIndex

Index permettant d'identifier de façon unique une entrée correspondant à une interface de protocole serveur eDirectory.

ndsProtoIfDescription

Informations relatives au port utilisé par l'interface de protocole DS.

ndsProtoIfUnauthBinds

Nombre de requêtes de liaison non authentifiées/anonymes reçues.

ndsProtoIfSimpleAuthBinds

Nombre de requêtes de liaison qui ont été authentifiées à l'aide de procédures simples d'authentification avec lesquelles le mot de passe est envoyé sur le réseau en format codé ou en texte clair.

ndsProtoIfStrongAuthBinds

Nombre de requêtes de liaison qui ont été authentifiées à l'aide des procédures d'authentification renforcées SASL et X.500. Ce nombre comprend les liaisons qui ont été authentifiées à l'aide de procédures d'authentification externes.

ndsProtoIfBindSecurityErrors

Nombre de requêtes de liaison qui ont été rejetées en raison d'une authentification inappropriée ou de références non valides.

ndsProtoIfInOps

Nombre de requêtes reçues des agents utilisateurs d'annuaire ou autres serveurs eDirectory.

ndsProtoIfReadOps

Nombre de requêtes de lecture reçues.

ndsProtoIfCompareOps

Nombre de requêtes de comparaison reçues.

ndsProtoIfAddEntryOps

Nombre de requêtes addEntry reçues.

ndsProtoIfRemoveEntryOps

Nombre de requêtes removeEntry reçues.

ndsProtoIfModifyEntryOps

Nombre de requêtes modifyEntry reçues.

ndsProtoIfModifyRDNOps

Nombre de requêtes modifyRDN reçues.

ndsProtoIfListOps

Nombre de requêtes de liste reçues.

ndsProtoIfSearchOps

Nombre de requêtes de recherche (portant sur un objet de base, sur un niveau ou sur l'ensemble de la sous-arborescence) reçues.

ndsProtoIfOneLevelSearchOps

Nombre de requêtes de recherche portant sur un niveau reçues.

ndsProtoIfWholeSubtreeSearchOps

Nombre de requêtes de recherche portant sur l'ensemble de la sous-arborescence reçues.

ndsProtoIfExtendedOps

Nombre d'opérations avancées.

ndsProtoIfReferrals

Nombre de renvois retournés comme réponse aux requêtes d'opérations.

ndsProtoIfChainings

Nombre d'opérations réacheminées par ce serveur eDirectory aux autres serveurs eDirectory.

ndsProtoIfSecurityErrors

Nombre de requêtes reçues qui ne répondent pas aux conditions de sécurité requises.

ndsProtoIfErrors

Nombre de requêtes qui n'ont pas pu être traitées en raison de la présence d'erreurs autres que des erreurs liées à la sécurité et de renvois. Une opération partiellement traitée n'est pas comptabilisée comme une erreur. Les erreurs portent sur l'attribution des noms, les mises à jour, les attributs et les services.

ndsProtoIfReplicationUpdatesIn

Nombre de mises à jour de réplications récupérées ou reçues par les serveurs eDirectory.

ndsProtoIfReplicationUpdatesOut

Nombre de mises à jour de réplication envoyées aux serveurs eDirectory ou exécutées par les eDirectory.

ndsProtoIfInBytes

Trafic entrant, en octets, sur l'interface. Comprend les requêtes des agents utilisateurs d'annuaire ainsi que les réponses des autres serveurs eDirectory.

ndsProtoIfOutBytes

Trafic sortant, en octets, sur l'interface. Comprend les réponses aux agents utilisateurs d'annuaire et aux serveurs eDirectory ainsi que les requêtes adressées à d'autres serveurs eDirectory.


ndsServerInt

Objets gérés dans l'Annuaire Description

ndsSrvIntSrvApplIndex

Index permettant d'identifier de façon unique une application serveur eDirectory.

ndsSrvIntProtoIfIndex

Index permettant d'identifier de façon unique une entrée correspondant à une interface de protocole serveur eDirectory.

ndsSrvIntIndex

Associé à ndsSrvIntSrvApplIndex et ndsSrvIntProtoIfIndex, cet objet constitue une clé unique permettant d'identifier la ligne conceptuelle qui contient des informations utiles sur l'interaction (tentative) entre le serveur eDirectory (correspondant à applIndex) et un serveur eDirectory parent utilisant un protocole particulier.

ndsSrvIntURL

URL du serveur eDirectory parent.

ndsSrvIntTimeOfCreation

Nombre total de secondes depuis minuit (24:00) du 1er janvier 1970 GMT (TU), date à laquelle cette ligne a été créée.

ndsSrvIntTimeOfLastAttempt

Nombre total de secondes depuis minuit (24:00) du 1er janvier 1970 GMT (TU), date à laquelle la dernière tentative de contact avec le serveur eDirectory parent a été effectuée.

ndsSrvIntTimeOfLastSuccess

Nombre total de secondes depuis minuit (24:00) du 1er janvier 1970 GMT (TU), date à laquelle la dernière tentative de contact avec le serveur eDirectory parent a abouti.

ndsSrvIntFailuresSinceLastSuccess

Nombre d'échecs depuis la dernière tentative réussie de contact avec le serveur eDirectory parent. Si aucune tentative n'a abouti, ce compteur totalise le nombre d'échecs depuis que cette entrée a été créée.

ndsSrvIntFailures

Échecs cumulés des tentatives de contact du serveur eDirectory parent depuis la création de cette entrée.

ndsSrvIntSuccesses

Réussites cumulées des tentatives de contact du serveur eDirectory parent depuis la création de cette entrée.